Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/263

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— Lady Jane B…, reprit-elle, m’a refusé son appui ce matin, mais Sa Seigneurie ne savait pas que le comte de White-Manor est fou…

— Et que peut une femme en tout ceci, Ophélie ?

— Une femme, chère belle ! lady Jane n’est pas une femme, c’est un whig… Elle a l’oreille du lord président du conseil des ministres et le cœur de S. A. R. le duc de…. Si je puis persuader à lady Jane que M. de Lancester votera avec le cabinet, la victoire est à nous.

— Oh ! tâchez ! tâchez, chère lady ! s’écria Susannah à qui cette explication n’apprenait rien du tout.