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Page:Fargèze - Mémoires amoureux, 1980.djvu/157

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je pris congé de l’inspecteur Moulin, qui m’approuva de quitter l’administration où, m’avoua-t-il, je perdais mon temps. Enfin ! J’étais libre ! Aucune contrainte bureaucratique ne pèserait plus sur l’emploi de mes jours. J’étais libre ! Insoucieux de l’avenir et tout enivré de vivre, j’allais me lancer comme un fou dans le gouffre que m’ouvrait Paris.