Page:Fauche - Le Mahâbhârata, tome 1.djvu/134

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la fin il s’affaissa sur la terre, épuisé de fatigue. 1014.

Il tomba dans un profond évanouissement : il semblait qu’il eût perdu la connaissance, et néanmoins il repassait mainte et mainte fois en lui-même ce langage vrai du saint anachorète. 1015.

Quand il eut recouvré l’usage des sens, Rourou s’en retourna ; il raconta son aventure à son père, et celui-ci, à sa demande, lui narra toute l’histoire d’Astîka. 1016.