Le Gandharva dit :
« À ce langage du magnanime Vaçishtha, le maharshi de réfréner cette colère, qui voulait exterminer tous les mondes. 6866.
» Le rishi à la vive splendeur, le plus savant des hommes versés dans les Védas, Parâçara, fils de Çaktri célébra le sacrifice des Rakshasas. 6866.
» Là ce grand anachorète, qui n’avait pas oublié la mort de Çaktri, consuma, dans ce vaste sacrifice, les Rakshasas, depuis les vieillards jusqu’aux enfants. 6867.
» Vaçishtha ne voulut point le détourner de la mort des Rakshasas : « Qu’il ne manque point à sa deuxième promesse à cause de moi ! « Ce fut ainsi qu’il pensa. 6868.
» Dans ce sacrifice des trois feux, le saint anachorète en fut lui-même un quatrième vis-à-vis des trois feux allumés.
» Tel que le soleil embrase le ciel à la fin de la saison des nuages, tel le fils de Çaktri l’enflamma par la célébration de cet éclatant sacrifice. 6869-6870.
» Là, tous les solitaires, Vaçishtha et les autres, voyant la splendeur, dont il était enflammé, s’imaginèrent que c’était un autre soleil. 6871.
» Atri, le rishi à la haute sagesse, vint au sacrifice, désirant obtenir une chose de premier ordre, et que d’autres eussent difficilement obtenue. 6872.
» Poulastya, Poulaha et Kratou aux grands sacrifices y vinrent aussi, meurtrier des ennemis, conduits par le désir de sauver la vie des Rakshasas. 6873.
» Poulastya dit alors ces mots sur la mort des Rakshasaa, éminent Bhaiatide et fils de Kountî, à Paraçâra, le dompteur de ses ennemis : 6874.
« Est-ce qu’ils te sont un obstacle, mon fils ? La mort