Du « Figaro » (8 nov. 1898) :
Avec les noms des illustres personnages haut placés[1] dont la présence… etc., le Tréteau de Tabarin pourrait se faire une jolie réclame, mais il sacrifie son intérêt à la satisfaction de ses visiteurs qu’une indiscrétion pourrait gêner.
Du « Figaro » dix jours après (18 nov. 1898) :
Le Tréteau de Tabarin ne voudrait pourtant pas avoir l’air d’être le seul théâtre de Paris n’ayant pas reçu la visite des Grands-Ducs. Il est jusqu’ici le seul ne s’en étant[2] pas vanté. Mais, pour une fois, il sort de son mutisme pour nous informer que les Grands-Ducs sont venus au Tréteau il y a douze jours, qu’ils y sont revenus il y a huit jours, et qu’il y a cinq jours, une Grande-Duchesse y est revenue avec des amis. Mais on y est tant habitué, rue Pigalle, qu’on n’aurait pas songé à en parler, si l’on n’avait tenu à ne pas paraître inférieur aux confrères.
Du « Figaro » (19 nov. 1898) :
Le Grand-Duc Alexis, le duc de Leuchtenberg et la duchesse de Leuchtenberg assistaient hier à la représentation des Folies-Bergère…
Du même (même jour) :
Leurs A. A. I. I. le grand-duc Alexis, le grand-duc Vladimir, etc., assistaient hier au Carillon à la 517e du Client sérieux…
De « Gil Blas » (21 nov. 1898) :
Au théâtre des Capucines, pour la troisième fois en huit jours, le grand-duc Alexis et sa suite applaudissaient hier l’exquis programme du coquet théâtre…
Du « Journal » (21 nov. 1898) :
Vendredi dernier, S. A. I. le grand-duc Vladimir et les grands-ducs de Russie qui assistaient à la représentation du Carillon ont fait le plus chaleureux accueil à… etc.