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verrez prendre. (Elle remonte puis descend.) Ah ! seulement, je ne demeure plus où j’habitais.
Moulineaux, abruti.
Ah ! bon.
Madame d’Herblay.
Non, je demeure un étage au-dessus… Au revoir, messieurs !
Elle sort.
Moulineaux, abruti.
Merci du renseignement.
Il reste les yeux fixes, l’esprit ailleurs, ouvrant et fermant machinalement ses ciseaux.
Aubin, le considérant en riant.
Non, mais a-t-il l’air assez ahuri !… (Se levant, à Moulineaux.) Vous savez ce qu’on m’a dit pour vous ?… Vous devriez prendre des douches.
Moulineaux, le regardant ahuri.
Moi ! qui est-ce qui a dit ça ?
Aubin.
Moulineaux !
Moulineaux, relève la tête et le considère un instant pour voir s’il a toute sa raison.
Moulineaux !
Aubin.
Oui, le docteur Moulineaux que je quitte à l’instant.
Moulineaux.
Ah ! vous le quittez ?… (Après un instant.) Vous êtes malade, vous !
Aubin.
Pourquoi ? parce que j’ai vu le médecin, ce n’est pas une raison, ça… Je l’ai rencontré par hasard.
Moulineaux, redescendant à droite.
Ah ! bien, j’en ai entendu de fortes… mais comme ça, jamais.