Page:Figuier - Les Merveilles de la science, 1867 - 1891, Tome 4.djvu/418

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se voit condamné chaque année, dans les théâtres, dans les salles de réunions, dans les expositions publiques, et surtout dans son propre appartement, pour peu qu’il soit exposé au soleil, on ne peut qu’appeler de tous ses vœux l’intervention efficace de la science dans cette question de salubrité publique.

Chauffer les maisons pendant la saison d’hiver, les rafraîchir pendant la saison d’été : voilà deux problèmes, en apparence fort simples, et dont la solution n’embarrasse pas le plus petit écolier ; ce qui n’empêche pas que l’on n’étouffe en été et qu’on ne gèle en hiver, depuis que Paris a été bâti.

fin de la ventilation.