d’approchant. Si vous trouvez l’expression trop forte, c’est que vous ne comprenez pas ce que vous avez fait.
Adieu, mille bonne cordialités.
Je n’ai pas été hier à Rouen, afin de gagner un jour. Voilà pourquoi vous ne m’avez point vu. Mais dimanche je compte passer tout l’après-midi dans votre chère compagnie et vous « remonter un peu le moral », à propos de l’affaire Censier.
Vous êtes bien bonne enfant de vous tourmenter de semblables misères. Qu’il se fâche ! Eh bien ! après ?
Mais M. Charles Darcel est un charmant garçon ! Vivent les amis.
Je ne vois qu’un remède à cela ; c’est dans une seconde édition, de renforcer le caractère de Maurille, afin que le portrait soit encore plus ressemblant.
Je vous renvoie votre Normandie, et j’ai fini votre Louise Meunier, dont je suis de plus en plus content. Ne perdez pas courage. Persévérez ! il y a