Page:Fortier - Les mystères de Montréal, 1893.djvu/267

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
267
les mystères de montréal

— Fuyons, dit-il, fuyons au plus vite ! Nous sommes ici, sur une côte maudite, la côte du diable… Thibault a eu le temps de sauver son âme ; l’aurais-je moi ?…

Le lendemain le Découvreur voguait à pleines voiles vers Tadoussac.