compte (manquer et avoir son manque remarqué, connu) ‖ a t. les s. c. à c. du prim. excepté ceux qui correspondent à « éprouver le besoin de » et « éprouver ».
— touiḍen ⵜⵓⴹⵏ vn. f. 3 ; conj. 197 « touekeniher » ; ρ (ittouaḍen, ietîouaḍen, éd iettouiḍen, our ittouaḍen) ‖ m. s. q. le pr.
— tâḍen ⵜⴹⵏ va. f. 6 ; conj. 228 « tâġer » ; (itâḍen, our itiḍen) ‖ se rendre hab. compte du manque de ‖ a t. les s. c. à c. du prim.
— sâḍân ⵙⴹⵏ va. f. 1.7 ; conj. 233 « sâġâr » ; (isâḍân, our isiḍin) ‖ faire hab. se rendre compte du manque de ‖ se c. av. 2 acc. ‖ a t. les s. c. à c. de la f. 1.
—
tîtouiḍân ⵜⵜⵓⴹⵏ vn. f. 3.13 ; conj. 246 « tîdekkoûl » ; (itîtouiḍân, our
itetouiḍen itetouiḍan) ‖ avoir hab. son manque dont on se rend
compte ‖ a t. les s. c. à c. de la f. 3.
— tîtouiḍîn ⵜⵜⵓⴹⵏ vn. f. 3.13 ; conj. 246 « tîdekkoûl » ; (itîtouiḍîn, our itetouiḍin) ‖ m. s. q. le pr.
— ăḍḍan ⴹⵏ sm. nv. prim. ; (pl. ăḍḍânen ⴹⵏⵏ) ‖ fait de se rendre compte du manque de ‖ a t. les s. c. à c. du prim.
— touḍḍount ⵜⴹⵏ⵿ⵜ sf. nv. prim. ; (pl. touḍḍoûnîn ⵜⴹⵏⵏ) ‖ m. s. q. le pr.
— ătouiḍan ⵜⵓⴹⵏ sm. nv. f. 3 ; φ (pl. itouiḍânen ⵜⵓⴹⵏⵏ), daṛ ĕtouiḍânen ‖ fait d’avoir son manque dont on se rend compte ‖ a t. les s. c. à c. de la f. 3.
— ătouiḍen ⵜⵓⴹⵏ sm. nv. f. 3 ; φ (pl. itouiḍînen ⵜⵓⴹⵏⵏ), daṛ ĕtouiḍînen ‖ m. s. q. le pr.
ⴹⵏⴶ ṭouṅġet (Ta. 2) ⵟⵏ⵿ⴶⵜ vn. prim. ; conj. 97 « doubet (Ta. 2) » ; (ieṭṭoŭṅġet, ieṭṭoûṅġet, éd iṭṭouṅġet, our ieṭṭouṅġet) ‖ être fort (être riche en principes nutritifs ; être riche en alcool ; être riche en principes odorants) (le suj. étant une saveur, une odeur, un aliment, un breuvage, une ch. parfumée) ‖ ne se dit que de bons aliments, de bons breuvages, de bonnes odeurs ; est toujours pris en bonne part ; c’est touj. faire l’éloge d’une ch. que d’employer en parlant d’elle le v. ṭouṅġet (Ta. 2). Se dit, p. ex., de viande, de fromage, de beurre, de lait, de thé, de café, de vin, d’alcool, de poivre, d’une essence parfumée, d’une fleur, de bois de senteur, etc. ‖ diffère de douṅġet (Ta. 2) « être rance (avoir une odeur forte et une saveur âcre particulières) », qui est touj. pris en mauvaise part.
— seṭṭeṅġet (Ta. 2) ⵙⵟⵏ⵿ⴶⵜ va. f. 1 ; conj. 134 « seġġereffet (Ta. 2) » ; (isṭeṅġet, iesîṭeṅġet, éd iseṭṭeṅġet, our isṭeṅġet) ‖ rendre fort.
— tîṭeṅġoût (Ta. 8) ⵜⵟⵏ⵿ⴶⵜ vn. f. 16 ; conj. 255 « tîġreffoût (Ta. 8) » ; (itîṭeṅġoût, our iteṭeṅġout) ‖ être hab. fort.
— sîṭeṅġoût (Ta. 8) ⵙⵟⵏ⵿ⴶⵜ va. f. 1.16 ; conj. 255 « tîġreffoût (Ta. 8) » ; (isîṭeṅġoût, our iseṭeṅġout) ‖ rendre hab. fort.