quelle cause) il est parti)) ‖ a foull « ce que sur (la ch. qlq’elle soit que sur) ; ce que pour (la ch. qlq’elle soit que pour) » a 2 sens : il sign. « qlq. soit la ch. sur laquelle » et « qlq. soit la ch. pour laquelle » ‖ mi foull « sur qui ? pour qui ? » a 2 sens : il sign. « sur qui ? » et « pour qui ? ». (Ex. mi foull tenĕied tăkoumboutt in ? ⁒ sur qui as-tu vu ma calotte ? = mi foull teslĭd i aouâ-reṛ ? ⁒ sur qui as-tu entendu ceci ? (sur qui as-tu entendu dire ceci ?) = mi foull d-iousă ? ⁒ pour qui est-il venu ? (à cause de qui est-il venu ?)) ‖ foull âs « pour lui (pour cela) » sign. souv. « parce que » ‖ foull innîn « pour que » sign. « parce que ; pour que » ‖ foull âs innîn « pour lui que (pour cela que) » sign. souv. « parce que » ‖ d. le s. « parce que », foull âs est syn. de foull innîn, de foull âs innîn, d’innîn, de d-innîn, de s-innîn et d’ininnîn. v. ⵏⵏ innîn ‖ d. le s. « pour que », foull innîn est syn. d’innîn, de d-innîn, de s-innîn, d’ininnîn. v. ⵏⵏ innîn ‖ foull accompagnant un nom de temps sign. souv. « au bout de ». (Ex. ousĭṛ-ed d-î-reṛ foull keraḍ haḍân ⁒ je suis arrivé ici sur 3 nuits (je suis arrivé ici au bout de 3 jours (c. à d. le soir du 3e jour ou le matin du 4e)) = tâġġen isem i ăbaraḍ foull essa haḍân ⁒ ils font hab. le nom à l’enfant sur 7 nuits (on donne hab. le nom à l’enfant au bout de 7 jours (c. à d. le matin du 8e jour))).
— tafoult ⵜⴼⵍ⵿ⵜ sf. φ (pl. tifoul ⵜⴼⵍ), daṛ tĕfoult (tăfoult), daṛ tfoul ‖ part (portion [d’une ch. divisée] ; ce qui revient [à chacun]).
— âfoul ⴼⵍ sm. (pl. âfoûlen ⴼⵍⵏ) ‖ corps dur sur lequel on se tient et contre lequel on fait glisser la corde du sceau (en puisant dans un puits) ‖ se dit de tout corps dur, tel que grosse pierre ou pièce de bois, placé au bord d’un puits, et de tout corps dur, tel que pièce de bois, placé en travers d’un puits, sur lesquels on se tient et contre lesquels on fait glisser la corde en puisant.
— chefellet (Ta. 2) ⵛⴼⵍⵜ vn. prim. ; conj. 47 « ġereffet (Ta. 2) » ; (ichfellet, iechîfellet, éd ichfellet, our ichfellet) ‖ monter jusqu’au sommet (monter jusqu’au faîte) [sur une montagne, une colline, une dune, une élévation de terrain qlconque] ‖ le suj. peut être une p., un an., ou une ch. ‖ ne se dit que de la montée jusqu’au sommet de reliefs de terrain ; ne se dit pas de la montée au sommet d’un édifice, d’un arbre, etc. ‖ quand le relief de terrain au sommet duquel monte le suj. est exprimé, il se met à l’abl. et est accompagné d’une prép. qui est hab. foull « sur ».
— chechchefellet (Ta. 2) ⵛⵛⴼⵍⵜ va. f. 1 ; conj. 134 « seġġereffet (Ta. 2) » ; (ichchefellet, iechîchefellet, éd ichechchefellet, our ichchefellet) ‖