faire monter jusqu’au sommet.
— tîchfelloût (Ta. 8) ⵜⵛⴼⵍⵜ vn. f. 16 ; conj. 255 « tîġreffoût (Ta. 8) » ; (itîchfelloût, our itechfellout) ‖ monter hab. jusqu’au sommet.
— chîchfelloût (Ta. 8) ⵛⵛⴼⵍⵜ va. f. 1.16 ; conj. 255 « tîġreffoût (Ta. 8) » ; (ichîchfelloût, our ichechfellout) ‖ faire hab. monter jusqu’au sommet.
— ăchfellou ⵛⴼⵍⵓ sm. nv. prim. ; φ (pl. ichfelloûten ⵛⴼⵍⵜⵏ), daṛ ĕchfelloûten ‖ fait de monter jusqu’au sommet.
— ăchechchefellou ⵛⵛⴼⵍⵓ sm. nv. f. 1 ; φ (pl. ichechchefelloûten ⵛⵛⴼⵍⵜⵏ), daṛ chechchefelloûten ‖ fait de faire monter jusqu’au sommet.
— ăcheffallou ⵛⴼⵍⵓ sm. φ (pl. icheffalloûten ⵛⴼⵍⵜⵏ), daṛ cheffalloûten ‖ sommet (faîte) [d’une montagne, d’une colline, d’une dune, d’une élévation de terrain qlconque] ‖ ne se dit que du sommet de reliefs de terrain ; ne se dit pas du sommet d’un édifice, d’un arbre, etc. ‖ syn. d’afella empl. dans ce s. ‖ diffère d’ăżeiiakor « cîme (point culminant) [d’un mont, d’une colline, d’une dune, d’un arbre, d’un mât, d’un rocher, etc.] », qui n’est qu’un point, tandis que l’ăcheffallou peut avoir une certaine étendue.
— efel ⴼⵍ vn. prim. ; conj. 30 « ebeḍ » ; ρ (ifĕl, ifâl, éd ifel, our ifil) ‖ être couvert d’un toit (le suj. étant une maison, une hutte, une habitation à toit fixe) ‖ ne se dit que des habitations à toit fixe, ne se dit pas des tentes.
— sefel ⵙⴼⵍ va. f. 1 ; conj. 113 « sebeḍ » ; ρ (isfel, iesîfel, éd isefel, our isfel) ‖ couvrir d’un toit.
— effâl ⴼⵍ vn. f. 5 ; conj. 218 « ebbâḍ » ; (iffâl, our iffil) ‖ être hab. couvert d’un toit.
— sâfâl ⵙⴼⵍ va. f. 1.7 ; conj. 230 « târeġâh » ; (isâfâl, our isefil) ‖ couvrir hab. d’un toit.
— éfîl ⴼⵍ sm. nv. prim. ; φ (pl. ifîlen ⴼⵍⵏ), daṛ ăfîl (ĕfîl), daṛ fîlen ‖ fait d’être couvert d’un toit.
— asfel ⵙⴼⵍ sm. nv. f. 1 ; φ (pl. isfîlen ⵙⴼⵍⵏ), daṛ ĕsfel (ăsfel), daṛ ĕsfîlen ‖ fait de couvrir d’un toit.
— asfel ⵙⴼⵍ sm. φ (pl. isfelen ⵙⴼⵍⵏ), daṛ ĕsfel (ăsfel), daṛ ĕsfelen ‖ toit (fixe) [d’une maison, d’une hutte, d’une habitation à toit fixe] ‖ p. ext. « toit (fixe ou mobile, en matière qlconque) [de n’importe quel abri couvert, maison, tente, abri temporaire] ; velum [de tente ou d’ăhennaka] ». L’ăhennaka est une cage en baguettes flexibles, qui s’ajuste sur la selle de méhari pour femme, et sert à supporter des voiles, de manière que la fem. qui est en selle soit à l’ombre.