marquera que la mise à l’écart de St. Joseph et de Çuddhodana n’empêche nullement l’enfant du miracle d’être considéré comme un descendant de David ou d’Ikshvâku.
42, 3 : Sur l’iconographie de la Nativité (Janma) du Buddha le lecteur est prié de se reporter aux planches du Memoir no 46 de l’ASI.
— 12 : Rummindei est situé en territoire népalais, à 5 milles anglais au N.-E. de Dulha dans le district de Basti.
— 32 : Açoka ajoute ensuite, autant que nous pouvons comprendre : « …Il a fait construire une (enceinte) de briques à coins de pierre et ériger une colonne de pierre, disant : Ici est né le Bienheureux. Il a fait le village de Lumminî exempt d’impôt et (autorisé à percevoir) une dîme du huitième (sur les revenus du pèlerinage) ».
43, 8 s. : L’açoka (DA p. 390 l. 3 ; Hiuan-tsang J I p. 322-3 ; B II p. 24 ; W II p. 14 ; Fa-hien (B p. l) ne spécifie pas l’essence de l’arbre) est le Fonesia açoka Roxb. ; le plaksha (LV p. 83 l. 5 MVU II p. 19 l. 17) est le ficus infectoria ; le çala (NK p. 52, l. 25) est le shorea robusta. Cf. AgbG fig. 152, 154 et I p. 229.
— 35 : Ṛg-veda, IV, 18, 1-2. — Senart à déjà signalé (p. 243 s.) les curieux rapports entre les circonstances de l’accouchement de Mâyâ et de celui de Latone dans l’Hymne homérique à Apollon, v. 117 s.
Chapitre II.
45, 18 : LV p. 87.
— 47 : Tel est le cas de BC I, 10 et cf. ANS p. 49.
46, 17 : St Jérôme, Contre Jovinien : « Traditur quod Buddam, principem dogmatis eorum, e latere suo virgo generârit… ».
— 45 : LV p. 86 : cf. Mathieu XI 4-6.
48, 37 s. : V. AgbG fig. 152, 154, etc., Amarâvati B pl. 32, 2 et BBA pl. 3.
49, 27 s. : Sur le Bain (snânam) v. LV p. 83 l. 21 s., contra p. 93 l. 3 ; MVU II p. 23 l. 4 (= I p. 220 l. 19) contra II p. 24 l. 20 (= I p. 222 l. 12) : BC I, 16 ; NK p. 83 ; Hiuan-tsang J I p. 323, B II p. 24-5, W II p. 14. Cf. AgbG fig. 156-7 (Gandhâra), 209 et 507 (Bénarès) ; Mathurâ pl. 51-2.
— 39 s. : Sur les Nâga cf. AgbG II p. 28 s. Upananda est un simple dédoublement de Nanda.
50, 19 : Pour des représentations des Sapta padâni v. AgbG fig. 154-5 et B. Budur fig. 28 (en combinaison avec la douche) Les lotus sous les pas ont disparu de l’éd. Johnston du BC.
— 45 s. : NK p. 53 ; cf. les jâtaka nos 546 (Mahosada) et 547. Pour l’histoire de Candragomin v. Târanâtha’s Geschichte des Buddhismus trad. A. Schiefner p. 150. M. P. Demiéville nous signale l’existence d’un « Sûtra développé prêché par le Bodhisattva dans le sein de sa mère » en 38 chapitres, traduit en chinois vers l’an 400 (Taishô no 384).
51, 21 : LV p. 84-5.
— 46 : On a naturellement saisi là l’occasion de rappeler la descente du Christ aux Limbes et aux Enfers.
52, 29 : Sur le symbolisme des Sept ratna v. É. Senart p. 14 s. ; il en existe une représentation ancienne originaire de Jaggayapeta et reproduite dans Amarâvati B pl. 55, 3.
53, 2 s. : Sur les saha-jâta v. LV p. 95 et MVU II p. 25 ; cf. AgbG I 316 et fig. 163 v. aussi l’extrait du Dulva dans les Annales du Musée Guimet t. V p. 35 s.
— 29 : NK p. 54 ; le commentateur joue sur le double sens d’amatya (pâli amacca) à la fois « ministre » et « compagnon », pour inclure Udâyin (alias Kâludâyin) dont il aura besoin plus tard (supra p. 231). V. aussi Life p. 16-7.
— 37 : Sur Vajrapâṇi v. AgbG II p. 52 s. avec de nombreuses figures.
54, 4 s. : Sur le Retour du parc de Lumbinî v. MVU II p. 25-6 et LV p. 98 ; cf. AgbG fig. 137 b, 159, 160 a (en litière) et 158 b (sur un char traîné par les lions de Cybèle).
— 41 : Sur le deva-kula-upanayana v. LV p. 118-120 ; MVU II p. 26 DA p. 391, et cf. Hiuan-tsang J I p. 321, B II p. 23, W II p. 13. Faut-il reconnaître cette scène à Amarâvati B pl. 32, 2 en compagnie de la Conception et de la Nativité ? Cf. B. Budur fig. 33-5.
55, 11 : C. Tischendorf, Evangelia apocrypha (Leipzig, 1853) p. 85.
— 21 : LV p. 118-20 (nous lisons p. 120 l. 19-20 apekshaka et non upekshaka).