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56, 17 s. : É. Mâle, L’art religieux du xiiie siècle, p. 284. Hiuan-tsang J I p. 321 ; B II p. 23 ; W II, p. 13.

45 : Le Bodhisattva est censé ne « se manifester » qu’en vue du salut des êtres ; cf. la conclusion du ch. x du LV p. 128 l. 11 (supra p. 77).

58, 6 : Ce ne sont pas des jyotisha mais des naimittaka (cf. DA p. 168).

17 : Les 32 lakshaṇa sont pris ici dans le sens de « signe particulier, indice signalétique » qu’ils partagent avec les 80 anu-vyañjana (le préfixe anu⁰ marquant simplement le caractère accessoire de ces derniers).

37 : Sur le mahâ-purusha v. É. Senart p. 87 s. et sur les signes p. 124 s.

59, 27 : Pour une discussion détaillée de ces questions, v. AgbG II p. 278 s.

60, 12 : Sur le brouillamini des horoscopes v. ibid. I, p. 296 et 314 s.

37 : Cf. DA p. 577. — Sur les deux chaînes de montagnes opposées cf. supra p. 93.

61, 15 : Cf. les manifestations de joie des dieux sur les bas-reliefs de Barhut, par ex. pl. 30, 3 (où il sifflent en outre dans leurs doigts à la mode américaine).

27 : Les quatre corps sont l’infanterie, la cavalerie, la charrerie et l’éléphanterie.

49 : Il lui fait l’añjali en élevant à la hauteur de son front ses deux mains réunies, la paume en dessus, en forme de coupe.

62, 2 : C’est le moment illustré par l’habile auteur de la fig. 151 de l’AgbG, où l’enfant ne paraît pas encore.

23 : Cf. ibid. les fig. 160 d, 161, 165 a ; Ajantâ, pl. 45. À B. Budur, fig. 31 c’est le roi qui tient l’enfant.

29 : Dans la version de la NK (p. 54-5) le rishi, qu’elle appelle Kâla-Devâla, commence par rire avant de se mettre à pleurer, selon le cliché folklorique bien connu.

56 : En skt udumbara. La comparaison revient supra p. 225, 54 d.

63, 12 : Il changera plus tard de sentiment (cf. supra p. 232 s.).

22 : LV p. 101 s. ; cf. SN III, 11 ; MVU II p. 26-43 ; BC I, 52-84 etc.

35 : Luc II, 8-20 et 25-35. Nous laissons de côté la prédiction de la prophétesse Anne (ibid. 36-38) laquelle n’est qu’un doublet de celle du vieillard Siméon.

65, 35 : Sur les raisons morales qui ont fait préférer à certains le ciel des Tushita à celui des Trayas-triṃças v. supra, p. 30, 26.

46 : V. AgbG II p. 130 s. et La Madone bouddhique (dans Mon. Piot XVII, 1910 ou en trad. anglaise dans BBA p. 271 s.).

66, 33 : Sur ces explications variées v. tour à tour MVU II, p. 3 et cf. I p. 199 ; NK p. 59 ; LV p. 98.

68, 7 : Cf. supra p. 274 s., mais aussi p. 137.

18 : Hiuan-tsang J I p. 342-3 ; B II p. 38 ; W II, p. 39.

Chapitre III.

71, 42 : Nous employons le terme arabe de fakîr « pauvre » parce qu’il a passé en français ; dans l’Inde ancienne on disait un pravrâjaka ou un sannyâsin ; dans l’Inde moderne on dit un sâdhu « homme de bien », ou supposé tel. ;

73, 10 : Fa-hien dit 12 yojana et Hiuan-tsang 500 li (B I p. XLVIII et II p. 13).

14 : H. Oldenberg (p. 115 n. 3) a fait remarquer que les noms de Çuddhodana et de ses frères (cf. Life p. 13) se terminent tous en ⁰odana « bouillie de riz ».

74, 3 : LV p. 100 ; cf. DA p. 3, 26, 47 etc. Leur rôle à chacune est bien détaillé dans un passage du canon des Dharmagupta trad. par E. Tuneld, Recherches sur la valeur des traditions bouddhiques pâlie et non-pâlie (Lund 1915) p. 215. Rapprochons-en passant l’existence à la cour de France d’une « Remueuse » du Dauphin à côté de sa ou ses nourrices.

28 : On trouvera une liste des 64 kalâ (ou çilpa) LV p. 156 (cf. DA p. 3 et 26) et SA no 61 (ou JA juillet-août 1908 p. 89).

30 : Le mot Kulaputra, littt « fils de famille », est d’un usage courant dans les textes pour désigner tout homme de naissance régulière et de bonne éducation. Non plus que son équivalent anglais « gentleman », il n’implique nécessairement ni noble extraction ni richesse exceptionnelle : encore semble-t-il réservé aux membres des trois premières castes.

42 : DA p. 3, 26 etc.