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75, 3 : DA p. 391. On a aussi montré à Hiuan-tsang l’école, mais non la vyâyâma-çâlâ.

10 : Ajaṇtâ pl. 45.

17 : Le mot employé est sandarçana.

39 : Luc II 41 s. Le rapport est beaucoup plus étroit avec les récits du Pseudo-Mathieu (ch. 30, 31 et 39) sur les relations de Jésus avec ses trois maîtres d’école (Tischendorf, Evangelia apocrypha p. 94 s.).

76, 3 : Au lieu de lipi-çâlâ on dit pâṭha-çâlâ.

22 : Nous ne faisons que traduire littéralement l’adho-mukha du texte LV p. 124 l. 11.

38 : Cf. la liste des écritures dans MVU I p. 135 et la note d’É. Senart ibid. p. 483.

77, 10 : Il y a exactement quarante-six de ces sentences morales dites dharma-mukha « introduction à la Loi ». Le texte omet les trois voyelles qui ne se trouvent que rarement ou jamais à l’initiale et l’anunâsika, mais il ajoute la lettre double Ksh.

20 : Cf. supra la note à p. 56, 45.

28 : Ce lipi-phalaka s’appelle à présent takhtî. Cf. AgbG fig. 166-7 et Corpus Inscr. Indic. II part. I, pl. XXIV et p. 130-1. On remarquera la façon dont la tablette est à l’une de ses extrémités taillée en queue d’aronde pour la rendre plus portative.

78, 9-10 : Tel est du moins le sens que nous croyons devoir attribuer aux deux mots langhita et plavita constamment associés ; le second aurait pu faire penser à la natation. La lutte est dite sa-âlambha ; le disque est le cakra, le lasso est le pâça.

29 s. : AgbG fig. 201-4 ; Sâñchî, pl. 66.

42 : Cf. les chapiteaux de Sâñchî, Portes Nord et Est. Le siège est dit le haudâ (orth. angl. howdah).

79, 18 : Sâñchî, pl. 23. On sait que les traits, tout comme les étriers, sont d’invention relativement récente.

38 s. : AgbG fig. 170-2. Le palmier-éventail ou borassus flabellifera est le tâla ; la posture est dite âlîḍha.

80, 18 : Le terme employé est dur-âsada. Cf. Luc x 45.

82, 3 : V. l’histoire de Mahâ-kâcyapa (ANS p. 317 ; cf. supra p. 227 s.) et Kusa-jâtaka no 531, et cf. Béfeo IX, 1909 p. 17.

6 : Le terme technique est puro-hita.

21 : LV p. 38 l. 10 ; le mot que nous traduisons ici par « lignée » est gotra, pris dans le sens spécial d’un des 49 clans entre lesquels se subdivise la caste brahmanique. Les non-brahmanes appartiennent médiatement, si l’on peut ainsi dire, au gotra de leur précepteur ou chapelain ; c’est ainsi qu’en religion Siddhârtha prendra le nom de Gautama et sa mère adoptive Mahâ-Prajâpatî celui de Gautamî.

24 : MVU II p. 48 et pour la suite p. 72-6.

45 : Le terme technique est svayaṃ-vara.

47 : On dirait aujourd’hui : « tiendra un darbar ».

83, 8 : Tout au contraire la Yaçodharâ du MVU n’aborde Siddhârtha qu’avec de grandes démonstrations de pudeur ; et, comme il arrive, sa modestie produit sur l’esprit du prince la même impression favorable que la coquetterie passablement effrontée de la Gopâ du LV.

14 : Entendez que la bague en question est la propriété personnelle du prince et non un de ces « joyaux de la couronne » que (supra p. 115) nous lui verrons renvoyer à la maison après le Grand départ. Pour la scène v. B. Budur fig. 42.

84, 1 : L’expression est d’Oldenberg, p. 118.

10 : Le LV p. 144 l. 8 emploie le terme de jaya-patâkâ.

21 : Jouant une fois de plus sur les mots le LV abuse du fait que çilpa peut s’appliquer à toute technique.

32 : Ainsi s’explique l’immobilité des personnages sur les fig. 47-8 de B. Budur.

37 : Mahâbhârata I, 187-191 ; Râmâyaṇa, éd. Gorrezio I, 69 ; cf. Bhâgavata-purâna X, 42, 15 s.

85, 18 : Pour la conversion de Nanda cf. supra p. 235 : Ânanda et, selon toute vraisemblance, Devadatta étaient en fait trop jeunes pour prendre part à la compétition (supra p. 236). Sur la malice et les méfaits de Devadatta cf. p. 286 s.

27 : L’épisode du râja-haṃsa se lit dans ANS p. 72 et l’introduction au Jâtaka.

34 : Selon le MVU II p. 74 il y aurait eu collision entre l’éléphant monté par Devadatta et celui qu’on amenait au Bodhisattva.

86, 17 : V. MVU III p. 150 et Kumâra-sambhava VII 79-83 ; cf. AgbG fig. 172-4

88, 7 : MVU II p. 115-7 et notamment 116 l. 18 où sont énumérés les cinq kâma-guṇa, à savoir nâṭya, gîta, vâdita, tûrya, striyas.

10 : Nous