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146, 24 : V. ibid. pl. 17. — Les monuments funéraires des soi-disant yogin que sont les mahant du couvent reçoivent en hindi le même nom que leurs exercices de « concentration » mentale (samâdhi).

29 : Sur ces deux incidents renvoyons à AgbG I p. 383 et fig. 194-8 et notons une fois pour toutes que dans son Mahâbodhi p. 34 s. Cunningham a cru pouvoir localiser la plupart des nombreux monuments signalés par Hiuan-tsang sur le site de Bodh-Gayâ.

147, 32 : Le texte tiré du LV p. 285 s. use pour désigner le Buddha de l’appellation Jina, « vainqueur » qu’a depuis monopolisée la secte des Jainas ou Jinistes. — A-mṛtam, en style bouddhique ne peut se traduire par « immortalité » : le terme ne saurait désigner que l’absence de re-mort par arrêt total de vie.

44 : L’herbe kuça de la famille des graminées est une sorte de pâturin dont le nom scientifique Poa cynosuroïdès est dû à son efflorescence en forme de « queue de chien ».

148, 37 : Par ex. Mahâbhârata xi, 5 et E. Kuhn, Festgruss an O. von Böhtlingk (Stuttgart, 18883) p. 68 ; pour une représentation indienne de cet apologue v. J. Ph. Vogel, The man in the well dans Rev. des Arts asiat. t. XI, fasc. 3, 1937, p. 199 s.

41 : En pâli Anicca, Dukkha, Anattâ : pour une trad. d’un passage topique de l’Anguttara-nikâya v. BT p. xiv.

149, 18 : Maeterlinck, La Vie des abeilles, ch. iii § 24.

25 : « Car la Création est une grande roue », dit V. Hugo et le BC xiv 5 dit : « Le monde tourne comme une roue ».

150, 32 : Cf. Ṛg-Veda, x, 129.

35 : C’est exactement ce que dit la st. XIII 2 du BC.

151, 2 : Bṛhad-âraṇyaka-upanishad I 4, 10.

152, 1 : Cf. supra la note à p. 30, 17 ; au sujet de l’empire de Mâra sur le Kâma-dhâtu, v. Przyluski dans JA 1927 p. 115.

153, 15 : Cf. supra p. 229.

23 : LV p. 261 l. 12 et SN III 2, 3.

154, 19 : E. Windisch, Mâra und Buddha a traduit (p. 87 s.) deux recueils de ces récits stéréotypés de tentations, le Mâra-samyutta (35 contes) et le Bhikkhuni-samyutta (10 contes) et tenté de déterminer (p. 213 s.) le développement chronologique de la légende de Mâra.

38 s. : Videvdât XIX 5-9 trad. dans W. Jackson, Avestan Reader, p. 47 ; NK p. 63 ; Luc IV 1-13 (cf. Mathieu IV 1-11). Cf. le commentaire de Windisch, loc. laud. p. 214 s.

156, 6 : Supra p. 32 s. ; mais v. p. 271 et cf. B Ph p. 167.

17 : Le récit de la conversion de Mâra par Upagupta (DA p. 357 s.) a été traduit par Windisch p. 163 s. Cf. SA no 54 et BÉFEO IV 1904, p. 414 s.

47 : V. par ex. au début du ch. XVIII du LV la réédition d’une scène de tentation et cf. la note à p. 154, 19.

157, 16 : V. AgbG fig. 201-4 et B. Budur fig. 94 pour l’assaut de Mâra (skt Mâra-dharshaṇa).

158, 33 : LV p. 262 l. 14, et SN III 2, 12-14.

41 : MVU II p. 269 s.

47 : NK p. 78 (le geste est placé avant la deuxième tentative de séduction des filles de Mâra contée supra p. 183).

159, 35 : LV p. 318 ; MVU p. 340 ; NK p. 73.

47 : Cf. Fournereau, Le Siam Ancien I pl. 30 et AgbG fig. 200 et 205.

160, 30 : Tel par ex. que le Kâma-sûtra de Vâtsyâyana. Les filles de Mâra, dites apsaras ou « nymphes célestes » par les textes, n’apparaissent qu’assez tardivement sur les images : v. AgbG fig. 506-8 et 209 ; Ajaṇṭâ cave I ; B. Budur fig. 93. — Au deuxième de leurs trois noms traditionnels Rati (ou Râga), Arati et Tṛshṇâ le BC XIV 3 substitue Prîti « Allégresse », qui paraît mieux en situation.

161, 4 : Le BC xiv 8 dit « un miroir sans tache ».

15 : DA p. 300 et cf. note à p. 24 et figure.

19 : Skt Râga, Dvesha, Moha.

46 : Le terme cyuti « chute » (de la racine cyu « tomber ») qui originairement n’a pu s’entendre que des dieux, seuls susceptibles de « déchoir », est devenu le terme courant pour passer d’une gati, même inférieure, à une autre.

162, 23 : La comparaison avec le ghaṭî-yantra ou noria est dans le DA p. 300 l. 17.

39 : La citation est de la Kaṭhopanishad I 6.