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171, 37 : Après le duḥkha il a connu successivement son samudaya, son nirodha et enfin la pratipad : c’est là déjà en germe les quatre Vérités de la première prédication (cf. supra p. 201).

47 : LV p. 350 et MVU II p. 284, à peu près dans les mêmes termes.

174, 9 : V. pour les sectes bouddhiques BPh p. 172 s., et pour les exégètes modernes P. Oltramare, La formule bouddhique des douze causes (Jubilé de l’Un. de Genève 1900) ; L. de la Vallée Poussin, Théorie des douze causes dans Bouddhisme, Études et matériaux (40e fasc. de l’Un. de Gand 1913) ; P. Masson-Oursel, Essai d’interprétation de la théorie bouddhique des douze conditions, etc. On notera l’embarras d’Oldenberg (p. 267) à propos de bhava ; cf. Stcherbatsky, Central Conception of Buddhism p. 106.

175, 46 : C’est à tort que le MVA I 4 et l’ANS p. 235 placent l’acquisition de la Formule des douze occasions conditionnées après la Sambodhi : la question est discutée en détail par E. Tuneld, Recherches sur la valeur des traditions bouddhiques pâlie et non-pâlie (Lund 1915) p. 54 s.

176, 7-8 : Et non Buddha-Gayâ, comme l’a écrit Râjendralâl Mitra : il faut entendre le site de la Bodhi près de la ville sainte hindoue de Gayâ. Al. Cunningham a adopté comme titre de son rapport Mahâbodhi.

177, 29 : La constitution de la province de Bihâr et Orissa date de 1911.

178, 5 : Il s’agit de la cérémonie dite çrâddha.

Chapitre VII.

179, 34 : LV p. 13. — Pour une étude minutieuse des épisodes intervenant entre la Sambodhi et la première prédication nous renvoyons le lecteur à l’ouvrage que nous venons de citer d’E. Tuneld, Recherches etc. (supra note à la p. 175, 46).

181, 5-6 : La preuve en est que, d’accord avec BC XIV 94, la vieille complainte insérée dans le LV p. 385 ne compte que sept jours ; cf. E. Tuneld p. 115.

22 : Marc I 9-11 ; Mathieu II 13-17 ; Luc II 21-2.

35 : Cf. E. Tuneld p. 45-53 et 104-111 pour l’emploi des sept semaines selon les divers textes.

40 : En skt Bodhi-manda.

182, 7 : Sur le Ratna-griha-caitya v. NK p. 78 et Hiuan-tsang J I p. 471 ; B II p. 123 ; W II p. 121.

23 : LV p. 371.

24 : Skt cankrama.

40 : C’est l’Animisha-locana-caitya ; toutefois le MVU III p. 281 place cette contemplation pendant la deuxième et non la troisième semaine.

183, 2 : Cette semaine est ordinairement numérotée la cinquième ; l’épisode de Mucilinda manque dans BC. Cf. E. Tuneld p. 64-75.

30 : V. AgbG fig. 521, 560. Les photographies d’Angkor ont vulgarisé la connaissance du riche parti décoratif que l’art du Cambodge a subsidiairement tiré de ce motif.

48 : C’est pourquoi le morceau revient dans le MPS et le DA (cf. infra p. 303).

184, 10 : Ce sont les quatre parishad des bhikshu, bhikshuṇî, upâsaka et upâsikâ.

27 : Le Mâra-samyutta ne connaît pas la transformation en vieilles (Windisch p. 126), et la NK se refuse à croire que le toujours compatissant Buddha ait joué à ces Apsaras un si mauvais tour. Dans le MVU III p. 283 c’est sous la forme de vieilles femmes que les nymphes célestes abordent le Buddha. Cf. E. Tuneld p. 92 s.

35 : Le LV et le MVU sont au fond d’accord, car le premier spécifie (p. 381 l. 18) que l’arbre Târâyaṇa appartient à un bois de kshirikâ. Au contraire la NK attribue la cinquième semaine à l’Ajapâla-nyagrodha et la septième à l’arbre Râjâyatana.

47 : Il en ira de même de l’artisan Cunda, le donateur du dernier repas avant le Nirvâṇa (supra p. 304).

185, 18 : Sur cette auto-ordination (svâm-upasampadâ) v. MVU I p. 2 l. 15 et cf. Milinda-pañha p. 15 ; trad. Finot p. 128-9.

22 : Cf. la note de la p. 117, 46.

32 : Il n’y a aucun compte à tenir du fait qu’une des complaintes recueillies par le LV (p. 387 l. 7-10) fait aussi jeter par le Buddha et transporter au ciel de Brahma ce second bol (pâtra).

38 : Skt haṃsa.

186, 2-3 : « Pur sang » se dit âjaneya.

7 : Le MVU III p. 303 renverse