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la direction et fait de l’Ukkala un pays du Nord ; selon la NK les marchands vont vers l’Est.

14 : La NK préfère l’intervention d’une divinité officieuse ; l’ANS p. 239 utilise les deux procédés.

21 : Il s’agit d’un madhu-tarpana analogue à ceux dont les traités médicaux fournissent la recette, note le Dr J. Filliozat.

43 : Le MVA ne mentionne que les bols de pierre.

187, 11 : AgbG fig. 208 et 210 et cf. I p. 416.

188, 3 : AgbG fig. 211 et I p. 420 ; Fa-hien B p. 32 et 78 ; Hiuan-tsang J I p. 106 et 482 ; B I p. 90 et II p. 129 ; W I p. 202 et II p. 130.

11 : AgbG fig. 440 et Ajaṇtâ pl. 50.

189, 20 : Hiuan-tsang J I p. 33 ; B I p. 41 ; W I p. 111-2. D’une part on a dû jouer sur le nom de Bhallika pour en faire un Bactrien (Bahlika), et d’autre part trapusha est aussi le nom de l’étain que l’Inde faisait venir de la côte opposée du golfe du Bengale.

47 : Skt adhyeshaṇa ou yâcana ; cf. E. Tuneld p. 123-190.

190, 31-2 : Le terme technique est prathama-abhisambuddha ; cf. MVA I 5 ; LV p. 392 s. ; MVU III p. 313 s. ; ANS p. 241, etc.

191, 4 : Il s’agit, bien entendu, du dieu Brahmâ, au masculin, personnification du brahman neutre.

22 : AgbG fig. 224-5.

192, 10 : Hiuan-tsang J I p. 483 ; B II p. 130 ; W II p. 131.

14 : Cf. supra p. 234 pour Çuddhodana et p. 274 pour Mâyâ.

20 : L’ANS p. 242 et la NK p. 81 (laquelle intervertit les noms) disent « depuis la veille au soir ».

193, 3 : Cf. supra p. 217 et infra la note à la l. 41 de cette page.

45 : LV p. 405-6 ; la traduction française n’a pas saisi le sens de ce passage. Cf. MVU III p. 325-6 et ANS p. 245-6.

194, 9 : DA p. 393 ; il faut dire que la légende s’est déjà édulcorée et que le Buddha est censé avoir été « célébré » (saṃstuta) par Upagaṇa (sic).

29 : Manual p. 189.

40 : La ligne directe de chemin de fer entre Patna et Gayâ mesure 96 milles, soit 155 kilomètres.

195, 37 : Discussion de motifs parallèles dans W. N. Brown, The Indian and Christian miracles of Walking on the Water (Chicago-London, 1928) ; il conviendra également de se reporter à ce texte à propos de la p. 301.

196, 14 : Ils emploient le terme pâtra ; plus tard les vieilles idées indiennes sur le mérite des aumônes se modifièrent au contact de l’Occident.

31 : En hindi « Kâçî-jî-kî-jay ! ».

43 : Des deux interprétations de ce titre par le DA (p. 379 l. 22 et 402 l. 9 d’une part, et p. 381 l. 23 d’autre part) nous choisissons la première.

197, 5 : La roupie qui valait alors 1 fr. 75 or compte seize anna valant chacun quatre païsa valant chacun quinze kaouri.

17 : Cf. Daya Ram Sahni, Catalogue of the Museum of Archæology at Sârnâth (Calcutta, 1914).

18 : Kanauj (ou Canodge) est l’ancien Kanyakubja (grec Kanogidza).

25 : Skt gandhu-kuṭî : cf. le célèbre médaillon de Barhut représentant le don du Jetavana (supra p. 238).

30 : Mûla-gandha-kuṭî (cf. Revealing India’s Past p. 128 et 230).

46-7 : Au lieu de Ṛshivadana, Ṛshi-patana (cf. supra p. 179).

198, 19-20 : Au lieu de Mṛga-dâva, Mṛga-dâya ; cf. MVU I p. 351 s. et Ajaṇtâ pl. 85.

199, 4 : Sur les cinq feux cf. supra p. 136.

22 : L’ANS est (p. 248) d’accord sur ce point avec le LV (p. 408 l. 3) ; le MVA et la NK (p. 81) disent le contraire ; le MVU III p. 429 n’en dit rien. Sur Kaundinya cf. supra p. 203 in fine et 213.

50 : Tel est le meilleur équivalent que nous trouvions au skt âyushmant, littt « destiné à vivre une longue vie ».

200, 9 : Sur ce point v. LV p. 416 s. ; MVU III p. 331 s. ; MVA I 6, 177 s.

201, 11 : Le LV marque expressément la connexion entre les deux formules.

23 : Les noms des cinq skandha sont rûpa (désignant les corps matériels caractérisés par l’impénétrabilité), vedanâ, sañjñâ, saṃskâra et vijñâna (ces quatre derniers d’ordre mental, caitta ou caitasika) ; bien entendu il ne s’agit que des upâdâna-skandha de l’homme ordinaire (pṛthag-