nirvâna (supra p. 314).
— 27 : Skt santâna ou encore hetu-kriyâ-paramparâ, « succession des causes et effets » (LV, p. 393 l. 8).
207, 4 : C’est l’attachement à l’existence qui y fait revenir (BT p. 161).
208, 7 : MVA i 6, 38 ; MVU III p. 337 ; ANS p. 255-6.
— 19 : MVA I 21.
— 36 : On obtient ainsi le tableau suivant :
i | ii | iii | iv | |
1. | La douleur Duḥkham |
son origine samudayaḥ |
sa suppression nirodhaḥ |
la voie de celle-ci pratipad |
2. | doit être approfondie parijñeyam |
doit être écartée prahâtavyaḥ |
doit être perçue sâkshât-kartavyaḥ |
doit être réalisée bhâvayitavyâ |
3. | a été approfondie parijñâtam |
a été écartée prahîṇaḥ |
a été perçue sâkshât-kritaḥ |
a été réalisée bhâvitâ |
209, 9 : Cf. supra p. 52 et 78 : le sens de « disque » est ici écarté pour celui de « roue ».
— 10 : On ne manquait pas d’autres métaphores ; les habitants des trois mille grands chiliocosmes sont censés inviter le Buddha à faire pleuvoir la pluie, à lever l’étendard, à souffler dans la conque et à battre le tambour de sa Loi (LV p. 413 l. 17)
— 22 : LV p. 415 : Il va de soi que cette roue est celle qu’ont déjà fait tourner tous les Bouddhas ses prédecesseurs.
— 37 : AgbG fig. 208-9, 218, 220, 221 etc.
— 40 : Les cinq ont été subitement transformés en moines par une simple parole du Maître (cf. supra p. 212).
210, 20 : V. L. A. Waddell, Lamaism p. 45, 172, 573 pour des images de prayer-wheels. Ces pieux hochets sont aussi en usage au Japon.
Chapitre VIII.
211, 12 : Kṛtaṃ karaṇîyam (LV p. 418 l. 19).
— 18 : Pâli majjhattatâ.
212, 3 : V. à la Liste des titres abrégés Manual, Vie, Leben et Life.
— 23 : Il y a toutefois quelques flottements dans la tradition ; v. note à p. 230, 43.
— 29 : C’est la même raison qui explique pourquoi ces textes de Vinaya s’arrêtent si vite.
— 45 : D’autres disent « depuis 60 ans ». Cf. BC tibétain XVI, 15 ; MVU, I p. 2 ; III p. 92, etc. ; ANS p. 289 etc. Toutefois le MVA ne dit rien de pareil et la NK ne fait intervenir le miracle (p. 88) que pour les messagers envoyés par Çuddhodana à son fils. — Le terme que nous traduisons par « vie religieuse » est brahmacarya.
213, 11 : Cette remarque irrévérencieuse n’est pas de notre cru : elle se trouve déjà formulée dans le Milinda-pañha (éd. Trenckner p. 74 ; trad. L. Finot, p. 126).
— 18 : Sur la pravrajyâ ou pabbajâ et l’upasampadâ v. MVA i, 12, 3-4 et 22-31. Le « directeur de conscience » est l’upddhyâya ou upajjhâya.
— 26 : Cf. supra p. 234-5.
— 34 : Cf. supra p. 224.
— 46 : Sur Âjñata-Kaundinya (ou Âññâta-Kondañña) cf. AgbG, I p. 438, et Life p. 107.
— 48 : C’est ainsi que les sources anciennes ne s’inquiètent pas de convertir la serviable Sujâtâ, oubli tardivement réparé par le Dulva (Life p. 40).
214, 2 : On l’appelle Naradatta, Nârada ou Nââlaka : cf. BC I 81 ; MVU III p. 383 s. ; ANS p. 279 s. et cf. DA p. 580 pour sa visite au Vokkâna (Wakân).
— 24 : Sur cette histoire très embrouillée v. MVU III p. 382 ; ANS p. 276 ; Life p. 45-7 et cf. Barhut pl. xiv et AgbG fig. 251 et 317. La légende est bâtie sur la déformation du nom d’Airâvata en Elâ-pattra (Feuille de cardamome). Cf. J. Ph. Vogel, Indian Serpent Lore (Londres, 1926) p. 10, 50 et 207.
215, 2 : Par « banquier » nous traduisons çreshṭḥin, pâli setthi, hindi seth.
— 6 : Il s’agit d’un nyagrodha ou ficus indica, dit « des banians » (ou marchands) parce que les marchés se tiennent volontiers à l’ombre sous les multiples arches de ses racines aériennes qui lui ont valu son nom d’arbre « qui pousse vers le bas ».
— 10 : ANS p. 258-264 : faut-il rappeler le récit analogue d’E. Renan dans ses Souvenirs d’enfance et de jeunesse où