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la menace se joint aussi à la prière adressée au saint ? — La même légende revient pour Mahâkâçyapa (supra p. 227) ; v. aussi DA p. 57-8.

21 : Cf. Luc 18, 25 et MVA p. 404 l. 8-9.

39 : Peut-être même à pied sec ; sur ce point cf. l’ouvrage de W. N. Brown cité dans la n. à p. 195, 37. Le Buddha a soin de ne laisser apercevoir Yaças à ses parents qu’après leur conversion.

216, 19 : MVA i 11 et Luc x (où les envoyés sont au nombre de 70, non compris les douze apôtres). Les missionnaires manichéens descendaient de même chez leurs zélateurs.

28 : V. DA p. 38-9 et IHBI p. 252-4.

217, 13 : Sur les Triṃça-goshṭika ou Bhadra-vargîya v. MVA i 14 ; MVU III p. 375 s. ; ANS p. 247-8 ; NK p. 80 etc.

21-2 : Skt jâṭâ d’où leur nom de Jâṭilas. Il s’agit de l’écorce de certains arbres laquelle se laisse battre en longs filaments d’étoupe. Les parṇa-çâlâ sont fréquemment figurées sur les bas-reliefs.

26 : Skt âraṇyaka.

34 : Âtman-Brahma.

37 : L’ANS p. 293 prête ce calcul au Bouddha. Cf. Leben p. 249.

— 41 : Cf. supra p. 192-3. L. Feer, Des premiers essais de prédication du Buddha Çâkyamuni (JA, 1866 : reproduit dans Études bouddhiques, 1re Série, Paris, 1870) a vainement tenté de tirer des témoignages conservés la démonstration de cette thèse indémontrable.

219, 27 : V. MVA i 15-21 ; MVU III p. 424-432 ; ANS p. 292 s. ; NK p. 82-3 ; et cf. Sâñchi p. 210 et pl. 51-2 ; AgbG fig. 223, 226, 257 a, 434-5, 461.

220, 31 : Les textes tibétains (Leben p. 257) complètent au contraire ce même chiffre de 1250 avec les 250 disciples de Sañjaya (supra p. 226-7).

221, 13 : Le BC tib. XVI 54-71 insiste particulièrement sur ce point.

33 : Skt Yashṭi-vana ; p. Yatthi ou Laṭṭhi-vana ; cf. hind. lâṭḥi.

222, 2 : V. MVA i 22, 13 s. ; MVU III p. 436 s. ; Life p. 41-2 ; Hiuan-tsang mélange les deux versions : J II p. 53-4 ; B II p. 176-7. Cf. AgbG fig. 229, 230 et aussi 256 b (identification rectifiée).

8 : Il les sert, mais ne mange pas avec eux.

17 : C’est le Veṇu-vana.

223, 4 : Hiuan-tsang J II p. 10 ; B II p. 145 ; W II p. 146 (Cf. Avadâna-çataka, III ; DA p. 75 et AgbG fig. 251 b et 256 c). Les légendes qui prétendent expliquer le Karaṇda°, Karanda° ou Kalanda-nivâpa mis en apposition au Veṇu-vana se contredisent l’une l’autre.

26 : MVU III p. 57 s. et ANS p. 325. Ce samâja sur une colline se retrouve mentionné sur les fragments 22 et 45 retrouvés en Asie centrale du drame écrit sur ce sujet par Açvaghosha sous le titre de Çaradvatî-putra-prakaraṇam (H. Lüders, Bruchstücke buddhistischer Dramen, Berlin 1911).

224 (col. de d.), 23 : Nous traduisons par « Juste » le terme de nâga entendu ici par jeu de mot dans le sens de « qui ne commet pas de péché (âga) ».

225 (col. de d.), 8 : Il y a là un jeu de mot intraduisible sur la double signification d’artha = « sens général » ou « gain ».

44-5 : Nous lisons vastram avec certains mss.

47 : L’amṛtam (cf. p. 147, 32) ne peut être que la délivrance de la nécessité de renaître.

55 : Sur cette rareté de l’apparition d’une fleur sur l’udumbara cf. LV p. 399 l. 15 et 429, 1.

227, 6 : L’ANS p. 330 et la Vie p. 153 font même mourir Sañjaya de son crachement de sang ; en revanche le Manual lui laisse la moitié de ses disciples, et les textes tibétains, réagissant de plus belle, le font mourir d’avance et recommander en mourant à ses disciples de se convertir au Buddha (Leben p. 256 ; Life p. 45 ; Feer, Extraits du Kanjour p. 4 s.).

22 s. : Cf. MVU III p. 255 l. 15-6 et supra p. 274 et 287 (nous laissons de côté les légendes sur la mort tragique de Maudgalyâyana).

39 : Fa-hien ch. XVI (B p. 38) ; Hiuan-tsang J II p. 52 et 54 ; B II, p. 175 et 177 ; Sâñchi p. 44 et 296 ; Life p. 111 ; DA p. 394-5.

44 : Le MVU III p. 67 dit que Maudgalyâyana obtint en 7 jours la maîtrise des pouvoirs magiques et que Çâriputra mit un demi-mois à acquérir la plénitude de la science. Il semble qu’une méprise se soit produite à ce propos, car la NK p. 85, la Vie p. 153 et le Manual p. 202 répètent que Maudgalyâyana mit 7 jours