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6 ; ANS p. 366.

20 s. : Ces privilèges sont exposés dans le fameux sermon sur le Fruit de l’ascétisme (cf. la note à p. 28217).

39 : Kshemendra, Daçâvatâra-carita (Kâvya-mâlâ, 1891). Sur les 74 stances consacrées au Buddha non moins de 26 (46-72) roulent sur ce thème.

47 : MVU (2e version) III p. 256 ; cf. p. 141 : DhPC III p. 3.

234, 15 : Cf. Life p. 52-3 ; au contraire NK p. 90 et DPhC III p. 3-4 et Jâtaka no 447.

30 : MVU III p. 176 l. 13-14.

45 : Deux versions dans le MVU III p. 142 s. et 256 s., la seconde plus développée et plus pathétique ; le bas-relief d’Amarâvati B pl. 42, 5 est reproduit dans AgbG fig. 509 (cf. fig. 231 c).

235, 36 : À l’épisode de Nanda est consacré le poème d’Açvaghosha intitulé Saundarânanda (cf. BL p. 262 s.) ; v. aussi AgbG fig. 234-8 et Amarâvati B pl. 41, 5.

48 : Sur l’épisode d’Upâli v. SA VII 47 (trad. Éd. Huber p. 222 s.).

236, 17 : MVU III p. 181 ; cf. Manual p. 234 ; Vie p. 172 ; DhPC I, 12 ; le Dulva ne connaît qu’une fournée (Life p. 54-5), mais s’embrouille ensuite dans l’âge d’Ânanda (ibid. p. 58 n. 3).

237, 21 : Sur le retour à Kapilavastu, le détrônement (cf. supra p. 254) et la mort de Prasenajit, et la vengeance de Virûḍḥaka v. L. Feer, Extraits du Kanjour, p. 65-9 et cf. Life p. 75 s. et 112-122 ; v. aussi DhPC IV 3.

32 : Par ex. à Bactres (B I p. 46), près de Sânkâçya (B I p. XLIII) et de Vaiçâlî (B II p. 73) et à Bodh-Gayâ (B II p. 115) où l’indication a été vérifiée par les fouilles. Pour Kapilavastu v. B II p. 20.

238, 33 : V. AgbG I p. 474 s. les fig. 239 (Gandhâra) et 240 (Barhut) et le curieux contraste entre les deux traitements de la même scène.

239, 48 : NK p. 85 l. 8-9.

240, 12 : Vihâra-svâmin et karmadâna ; sur le développement des monastères v. AgbG I p. 158 s.

Chapitre IX.

241, 18 : Il y a deux sortes de nirvâṇa, celui qui comporte encore un résidu d’apparente personnalité dit upadhiçesha (c’est le cas du jîvan-mukta), et celui qui se réalise totalement à la mort. Il est commode de réserver à ce dernier le terme de Pari-nirvâṇa pour le distinguer de l’autre (cf. R. Pischel Leben und Lehre des Buddha p. 75) ; mais cet usage distinctif ne semble pas confirmé par les textes (cf. E. J. Thomas, Nirvâṇa and Pari-nirvâṇa dans India antiqua, Leyde 1947 p. 294-5).

242, 24 : Sakalaṃ Buddha-kâryaṃ kṛtvâ ; cf. DA p. 269, 394 etc.

30 : Du moins si l’on en croit la tradition ; mais v. supra p. 322-3.

243, 26 : Cf. la n. à p. 2183.

38 : BC tib. XXI.

246, 2  : Sumangala-vilasinî (cf. BT p. 91 s. et Vie p. 187 s.).

21 : V. la liste des 40 « sujets de méditation » (dhyâna-sthâna) dans DhPC, I p. 2.

28 : C’est la yoga-nidrâ des yogin pendant leurs longues séances d’immobilité.

247, 23 : MVU III p. 418-420.

30 : Contre Luc X 7 : « N’allez pas de maison en maison ».

25 : MVU III p. 49 s.

48 : Sur le pâṃçupradâna dans la Rue royale (râja-pâtha) v. surtout DA p. 366 et 402 et cf. AgbG fig. 255 et 256 a.

248, 15 : Cf. DA p. 365.

27 : Mâra-saṃyutta II 8 et DhPC XV 2.

37 : Pourtant on a montré à Fa-hien (ch. XIII) le bâton de santal du Buddha.

42 : Littt : « Cela n’est pas assez pour te dresser d’en être venu de faire « Bho ! » (Manière hautaine d’interpeller les gens) à faire « Bhok ! » (c.-à-d. à aboyer) ». Cf. Mahâ-vibhanga, éd. S. Lévi (Paris 1932) p. 21 s. et AgbG fig. 257.

249, 23 : D’où l’usage de distribuer à l’avance des tickets de bois (çalâkâ ; cf. DA p. 44, 184, etc.) en guise de cartes d’invitation ; cf. SA XV 74 (trad. É. Huber p. 426).

35 : AgbG fig. 262.

39 : Cf. Jâtaka no 246 ; d’autres sectes étaient plus strictes ; toutefois la chair d’homme, de cheval, d’éléphant, de bête fauve, etc. était interdite (MVA VI 23).