l’admission des nonnes v. CVA X et sur le garu-dhamma cf. Oldenberg p. 416 n. 1.
— 41 : V. Manual p. 498-500.
— 47 : Dial. II p. 154.
267, 36 : Il s’agit du fameux recueil du Dhamma-pada.
— 42 : Rhys Davids Dial. I p. 207.
268, 11 : Sur l’influence occidentale dans le Mahâyâna v. Mém. Dél. arch. fr. en Afghanistan I p. 283 s.
— 32 : Cf. supra p. 58 s. et 147 ; sur la voix du Buddha v. encore MVU I p. 170-1 ; III p. 342-3 et Hébôgirin s. v. Bonnon.
— 40 : Cf. l’Upâli-sutta (n. à p. 251, 15) et le bandeau sur les yeux de Migara dans Manual p. 232.
Chapitre X.
270, 23 : Cf. J. Przyluski, Le Nord-Ouest de l’Inde dans le Vinaya des Mûla-Sarvâsti-vâdin, JA nov.-déc. 1914 et Mahâvaṃsa ii ou Manual p. 212 s.
— 28 : V. la carte (fig. 2) ; de Bénarès à chacun des autres sites la distance varie de 200 à 400 kilomètres pour Sânkâçya dont on notera la position excentrique.
Fig. 2. — Le pays d’origine du Bouddhisme.
Le nom des huit villes saintes, théâtres des huit grands miracles et buts des huit pèlerinages, sont en petites capitales.
271, 14 : Pour le moine malade v. supra p. 261 ; mais la tradition postérieure croit au miracle de la guérison instantanée (Hiuan-tsang J I p. 297-98 ; B II p. 5-6 ; W I p. 387). — Pour Kṛçâ Gautamî à qui le Buddha indique pour unique remède quelques grains de moutarde blanche obtenus d’une famille où n’est jamais entrée la mort v. DhPC VIII 13 (avec bibliographie).
— 36 : C’est le ṛddhi-prâtihârya de Çrâvastî (cf. DA p. 144 s.).
272, 10 : Skt tîrtha.
— 16 : MPS v 7-8.
— 21-2 : C’est exactement ce que dit l’inscription d’Açoka (supra p. 42).
— 50 : Cf. JA janv.-fév. 1911 ou BBA p. 1 s. (avec planches).
(La figure a été insérée page suivante, là où le texte la mentionne.)