273, 5 : AgbG fig. 208 ou BBA pl. IV.
— 10 : La st. brahmanique citée Cambridge Hist. of India I p. 531 doit être corrigée pour porter le nombre des places saintes à ce chiffre.
— 13 : Des reproches rétrospectifs au Buddha pour avoir choisi de mourir à Kuçinagara sont mis dans la bouche d’Ânanda supra p. 310.
— 25 : V. fig. 3 et cf. AgbG fig. 498 et 500.
Fig. 3. — Schéma de la figuration des huit grands miracles :
a) Style Gupta.
Fig. 3. — Schéma de la figuration des huit grands miracles :
b) Style Pâla.
— 28 : Mathurâ est la Muttra des cartes anglaises sur la rive droite de la Yamunâ (Jumna) à peu près à mi-chemin entre Agra et Delhi. — Les ruines de Saketâ-Ayodhyâ sont situées en Aoudh à quelques kilomètres de Faizâbâd. Celles de Kauçâmbî ont été identifiées par Al. Cunningham avec Kosâm sur la rive gauche de la Yamunâ, à une cinquantaine de kilomètres en amont de la jonction de cette rivière avec la Gangâ à Prayâg (Allahâbâd).
— 33 : l’Añjana-vana à Sakêta et l’ârâma du ministre Ghoshila (ou Ghosita) à Kauçâmbî.
— 37 : Hiuan-tsang y notera une grande majorité d’hétérodoxes.
— 42 : Le DA XXXVI explique le fait par l’animosité de la fille de l’ascète Makandika, que le Buddha avait refusée et qui était devenue l’épouse favorite d’Udayana ; le DhPC II 1 incorpore tardivement le cycle des aventures extraordinaires d’Udena à la légende bouddhique. V. aussi n. à p. 275, 41.
274, 13 : C’est ainsi que Maudgalyâyana serait allé lui demander au ciel la date de sa descente, ce qui a pour but d’expliquer l’affluence qu’aurait attirée celle-ci au jour fixé.
— 25 : Cf. Barhut pl. 17 et Ajaṇtâ pl. 54 ; et supra p. 227.
— 36 : Le Kapitha de Hiuan-tsang semble n’être qu’un autre nom de Sânkâçya : c’est seulement Fa-hien qui transporte le miracle à Kanyakubja (Kanauj). Cf. Cunningham, Anc. Geogr. of India p. 369 et ASI I et XI ; toutefois le chapiteau de colonne d’Açoka qui a été retrouvé porte un éléphant et non, comme le dit Hiuan-tsang, un lion.
— 43 : Mésopotamie = doâb.
275, 5 : Il ne faudrait pas beaucoup nous pousser pour nous faire admettre une sorte d’affinité élective entre l’alimentation à base de riz et la non-violence ou ahiṃsâ gangétique.
— 16 : DA p. 150 l. 24-5 ; pour le père v. supra p. 233.
— 20 : On trouva plus tard qu’il avait trop attendu ; cf. supra p. 192.
— 41 : Cette tradition tardive hésite entre Prasenajit de Çrâvastî d’après Fa-hien et Udayana de Kauçâmbî d’après Hiuan-tsang : cf. Beal I p. 44 et 235.
276, 11 : Sur le Deva-avatâra v. DA p. 150 et 401 ; Jâtaka no 463 ; Manual p. 311 s. ; Life p. 81 et cf. Fa-hien (B p. 39) et Hiuan-tsang J I p. 238 ; B I p. 203 ; W I p. 333.
— 13 : Barhut pl. 17 ; Sâñchî pl. 34 ; Ajaṇtâ pl. 54 ; AgbG fig. 205 ; Icon. bouddh. de l’Inde fig. 29-30 et p. 157 et 205 etc.
— 26 : C’est le rêh qui rend les terres stériles (kallar) ; cf. JRAS 1863 p. 326.
— 29 : Entendez la récolte semée au printemps (rabi‘) et celle semée à l’automne (kharif), d’où leurs noms empruntés à l’arabe.
— 40 : V. la fig. 4.
Fig. 4. — Schéma du mode d’élévation de l’eau dans le Doâb.
277, 11 : Hiuan-tsang J I p. 258 ; B I p. 218.
— 42 : Daça-bala, une des désignations courantes du Buddha (cf. Eug. Burnouf Lotus p. 781).
278, 53 : Sur la dévote et généreuse Visâkhâ il suffit de renvoyer à Oldenberg p. 186 s.
279, 22 : Jâtaka no 472, cf. DhPC XIII 9 ; elle tombe dans l’enfer Avîci, le plus bas et terrible des huit enfers chauds (cf. BPh p. 62).
— 32 : Son cas et le suivant sont de ceux qui entraînent rétribution immédiate (cf. ibid. p. 180).
280, 16 : Jâtaka no 285 ; cf. DhPC XXII 1. Selon les informateurs de Hiuan-tsang chez qui les deux histoires se suivent de près avec celles de Devadatta et de Kokâlika (J I p. 300-3 ; B II p. 7-10 ; W I p. 389-93), Sundarî était une courtisane embauchée dans cette mauvaise intention ; naturellement les cicérones montraient les soupiraux ainsi ouverts sur les enfers.
— 41 : L’Avadâna-kalpalatâ ne recule plus devant cette conception ; le MVU I p. 35-45 est moins explicite ; mais le Milinda-pañha (éd. Trenckner p. 134 s.) rejette énergiquement l’idée que les mésaventures survenues au Bienheureux aient été des expiations et soutient avec la vieille