que pour mourir : cf. infra n. à p. 308, 35.
— 25 : Le pâli l’appelle Pukkusa, les Mûla-sarvâsti-vâdin Purṇa. Il ne paraît pas dans le BC. Cf. J. Przyluski JA 1909 p. 1918.
— 26 : Le même que l’Ârâḍa Kâlâpa du LV (supra p. 120).
— 35 : La Vie traduit bhusa-agâra par « hangar » ; Rhys Davids préfère « aire-à-battre » : mais bhusa en hindi a le sens général de « fourrage », d’où la traduction par « grange ».
— 46 : Przyluski a essayé de deviner les raisons des rédacteurs (ibid. p. 415 s.).
308, 25 : Cf. Manual p. 357 et Vie p. 283.
— 31 : Tel paraît être le sens de Malla-upavartana.
— 35 : Ici nipajjissâmi.
— 45 : Cf. AgbG fig. 276-283 et 437 et cf. 506-7.
309, 15 : Dial. II p. 151 ; confusion de personnages dans Vie p. 286-7.
— 45 : Sur tous ces points v. ASI (Cunn.) I p. 76 s. ; XVIII p. 55 s. ; Ann. Report 1904-5 p. 43 s. ; 1905-6 p. 61 s. ; 1906-7 P. 44 s. ; 1910-1 p. 60 s.
310, 21 : « De torchis », dit Rhys Davids forçant légèrement le sens de kuḍḍa = skt kûḍya.
— 36 : Dial. II p. 161 et cf. Mahâ-sudassana-sutta (trad. ibid. p. 192 s. ainsi que le Jâtaka du même nom no 95).
311, 3 : Tel paraît être le sens de kapi-sîsa = skt kapi-çîrsha.
— 44 : Le MPS ne parle pas de l’âge de Subhadra ; la Vie semble le croire jeune ; Hiuan-tsang et le Dulva (Life p. 138) lui attribuent 120 ans.
312, 14 : Cette règle existait-elle du vivant du Buddha ?
— 30 : J I p. 337 ; B II p. 33 ; W II p. 29.
— 36 : Sur cette question v. AgbG II p. 259 s.
313, 14 : Ce sont les neuf vimokkha.
— 45 : Sur ces dundubhi cf. Sâñchî pl. 34, 35 et Ajaṇṭâ cave xvii.
— 48 : L’incident est reporté plus haut par le MPS au moment où le Buddha se couche (Dial. II p. 140).
314, 35 : MVU IIII p. 47 s.
— 42 : Sur les six, sept, ou neuf chefs d’accusation v. les textes réunis par J. Przyluski, Le Concile de Râjagriha (Paris, 1926) et Life p. 152.
315, 16 : CVA XI 1, 10 s. et X 1, 9 s. ; le CVA ne retient d’ailleurs que cinq chefs, omettant le refus de l’eau et la dénudation du cadavre.
— 32 : On le fait répéter au Buddha lui-même (Dial. II p. 154).
— 39 : Cf. Przyluski JA 1920 p. 7 s.
— 48 : Telle était la règle bouddhique ; dans d’autres communautés le cadavre doit être ou enterré ou jeté au fleuve, ligoté entre deux dalles de pierre, comme nous l’avons encore vu faire à Bénarès.
316, 25 : Avadâna-çataka (trad. L. Feer dans Ann. du Musée Guimet XVIII p. 430) ; cf. Przyluski JA 1918 p. 401 et 1920 p. 17 et 13.
317, 32 : Sâñchî pl. 30 : c’est un maha.
— 40 : Cela ne se fait régulièrement qu’après les obsèques.
— 48 : Le Mukuṭa-bandhana-caitya.
318, 9 : Cf. sur ce point AgbG II p. 17-8.
— 14 : Nous entendons les pañcehi yugasatekhi comme rappelant les pañca-dussa-yuga-satâni dont il vient d’être question (éd. Childers p. 254 et 256). Rhys Davids préfère ne compter que « cinq cents fois la double enveloppe d’étoffe et de coton » : on ne voit pas ce que la vraisemblance y gagne.
— 29 : AgbG fig. 285. — Nous passons ici sous silence l’histoire tardive de l’intervention de Mâyâ à laquelle il a été fait allusion supra p. 68.
319, 25 : AgbG fig. 287 : cf. Przyluski JA 1919 p. 19 et 1920 p. 35 s.
— 47 : Les quatre sortes de dhâtu sont ainsi les çârîrika, les paribhogika, les uddeçika et les dharma-çârîra.
320, 9 : Nous croyons avec J. Przyluski JA 1918 p. 515 que la négation est tombée dans le texte pâli qui dit le contraire de tous les autres.
— 12 : De fait on nous parle de sommet du crâne, de clavicules et surtout de dents — la plus célèbre de celles-ci étant censée conservée à Kandy (Ceylan).
— 24 : Cf. AgbG fig. 288-201.
— 39 : Les termes diffèrent dans le cas des Çâkyas qui invoquent leur parenté avec le défunt, et du dynaste de Vishṇu-dvipa (p. Veṭḥa-dîpa) qui est brahmane.
321, 4 : Ce brahmane doit sans doute son nom au récipient des reliques (droṇa est une mesure de capacité contenant 1 024 mushṭi ou « poignées ») : cf. les vers apocryphes à la fin du MPS.
— 25 : Sâñchî pl. 15 ; Amarâvatî B pl. 25, 2 (cf. Barhut pl. 12) et F pl. 7.
— 32 : Dial. II p. 156 et 183.
322, 2 s. : Cf. JA 1909 p. 1 ou BBA p. 147 ; sur le stûpa de Râmagrâma