Page:Frébault - Apothicaire et perruquier.djvu/20

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BOUDINET.

On ne peut rien faire sans vous.

PLUMOIZEAU, souriant.

Je le sais bien.

BOUDINET.

Alors pourquoi vous faites-vous attendre ?… J’irai me plaindre chez…

PLUMOIZEAU, l’interrompant.

Mais le coche…

BOUDINET.

Pas d’excuses, et dépêchez-vous.

PLUMOIZEAU.

Mais…

BOUDINET, à Chilpéric.

Je vous demande pardon… sans ce maudit animal !

PLUMOIZEAU, à part.

Il est un peu cheval, le papa beau-père… je commence à avoir du regret d’être venu.

BOUDINET, à Chilpéric.

Veuillez m’excuser.

CHILPÉRIC.

Mais de rien… comment donc !… (A part.) C’est étonnant comme ce vieux me comble de prévenances.

BOUDINET, à Sempronia.

Allons, ma fille, va vite, le temps presse. (A Plumoizeau.) Et vous, allez-vous vous remuer, à la fin ?