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Page:Francisque-Michel - Histoire des races maudites, tome I.djvu/7

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misse dans l’expression de la gratitude que m’ont inspirée les procédés de ces deux hommes d’élite, je ne parviendrais jamais à rendre hommage, autant qu’ils le méritent, à leur obligeance et à l’activité de leur zèle[1].

Je dois aussi des remercîments, et je les adresse de grand cœur, à MM. les Recteurs des académies de Toulouse, de Cahors et de Rennes, qui ont favorisé mes investigations de tout leur pouvoir académique. M. Tardivel, ancien recteur de Bordeaux, m’a conservé la bienveillance qu’il me témoignait alors que j’avais l’honneur d’être son administré, et son séjour à Rennes m’a été très-profitable pour les recherches que j’avais à faire dans cette ville. Enfin, j’ai trouvé dans MM. Martial Delpit et Vallet de Viriville, archivistes-paléographes ; Rédet, ancien élève de l’École royale des Chartes et archiviste du département de la Vienne ; Don José Yanguas y Miranda, secrétaire de la députation provinciale de Navarre ; Pressac, bibliothécaire-adjoint de la ville de Poitiers ; Renard de Saint-Malo, correspondant du Ministère de l’instruction publique pour les travaux historiques, à Perpignan ; Feautrier, archiviste de la ville de Marseille, et Paul Ricard, archiviste du département des Bouches-du-Rhône, des correspondants aussi instruits qu’obligeants. Ceux auxquels j’ai certainement le plus d’obligations, sont

  1. Depuis que ces lignes ont été écrites, Don Francisco a été enlevé par une mort prématurée à l’affection de ses amis.