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Page:Frollo - Paris qui chante, paru dans Le Petit Parisien, 18 janvier 1898.djvu/10

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son fichu pourvu que la main soit légère… À un mot risqué elle répond par un brave éclat de rire qui montre ses dents blanches et ses gencives vermeilles, mais sa gaieté n’a rien de malsain et nos aïeux la faisaient patriarcalement asseoir sur leurs genoux ».

Mais je n’ai pas fini avec nos Sociétés chantantes de Paris dont je trace ici le tableau. Il y en a encore qui poussent plus loin que celles-ci les manifestations de leur gaieté et qui sont également fort nombreuses. Voici une quinzaine d’années, quelques négociants honorables, des industriels, des employés petits et grands, estimant qu’il était temps que le rire vint mettre sa note claire dans les cervelles, fondè-