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Page:Géhin - Gérardmer à travers les âges.djvu/14

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Tête. Point culminant de la région ; sommet de la montagne.

Tête-du-Costet (alt. 887m).

Tête-du-Barrau[1] (alt. 1.008m).

Côte. Nom donné à quelques montagnes ou lieux élevés.

Le Costet[2].

Le Haut-de-la-Côte.

Rain. Pente rapide ; terme très employé en montagne.

Le Rain (section du centre).

La Roche-du-Rain.

Le Rain-de-la-Bruche, lieu dit.

Le Rein-des-Fouchés, écart.

Le Rein-du-Beau, écart.

Les Reins-de-Vologne, forêt domaniale.

Le Rein-des-Genièves, lieu dit.

Les Reins-Derrière-le-Lac, lieu dit.

Charme. La chaume devient une charme quand le plateau est marécageux ou couvert de bruyères. Une charme est à une moindre altitude qu’une chaume.

Le Haut-de-la-Charme, point de vue très joli.

Basse. Fond supérieur d’une vallée profonde, souvent boisée.

La Basse-de-la-Mine (Longemer et Bas-des-Xettes).

La Basse-de-l’Ours, lieu sauvage.

La Basse-du-Beillard, écart.

La Basse-du-Cheniquet, écart.

Les Bassottes, ferme.

Creuse. Lieu profond, désert, sorte de trou.

La Creuse, vallée et hameau.

Creuse-Goutte.

Vierge-de-la-Creuse.

Col. Passage. Le plus connu est celui de la Schlucht.

  1. En patois lo Boro, nom d’un grand fourneau arrondi, à coffre énorme, répandu dans la montagne. Probablement à cause de la forme arrondie de la montagne.
  2. En 1626, on écrivait le Chostel, puis le Costel, le Costet.