Page:Galmot - Quelle étrange histoire, 1918.djvu/191

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— Cette femme… qui l’a vue ?

— Les deux surveillants corses qui l’ont tuée. Personne autre ne l’a vue. Mais puis-je croire à ces Corses qui s’enivrent ?

J’essaye en vain de boire la verveine et le rhum. L’angoisse qui m’étreint me donne le vertige. Et cet homme qui ne sait pas parler… Je voudrais savoir, et chacun de ses mots me torture.

Effondré sur sa chaise d’osier, le vieux garde-chiourme dort.