cessairement à des nombres dont les relations seront determinées
par les numéros précités. Un exemple éclaircira cette méthode.
Soit proposé de trouver la relation de à ; , et (II. 2.) (A), (II. 1.) ; il reste donc à trouver la relation de à ; or elle sera la même que celle de à , puisque , ou (Théor. fond.) que celle de à , ou encore que celle de à , puisque ; mais ; or (no 108) ; , car et est parconséquent résidu de (théor. fond.) ; il suit de là que , ou enfin .
147. Étant proposé un nombre quelconque , on peut trouver de certaines formules qui contiennent tous les nombres premiers à dont est résidu, ou tous ceux qui sont diviseurs des nombres de la forme , étant un quarré indéterminé. Nous appellerons simplement ces nombres diviseurs de ; l’on voit facilement ce que sont les non-diviseurs. Mais pour abréger nous ne considérerons que les diviseurs qui sont impairs et premiers à , les autres cas se ramenant sans peine à celui-là.
Soit d’abord un nombre premier positif de la forme , ou négatif de la forme . Suivant le théorème fondamental, tous les nombres premiers qui, pris positivement, sont résidus de , seront diviseurs de ; mais tous les nombres premiers non-résidus de seront non-diviseurs de , si pourtant on en excepte , qui est toujours diviseur. Soient , , , etc., tous les résidus de qui sont plus petits que lui, et , , , etc., tous les non-résidus ; alors tout nombre premier contenu dans une des formes , , , etc. sera diviseur de ; mais tout nombre premier contenu dans une des formes , , etc. sera non-diviseur de , étant un nombre entier indéterminé. Nous appellerons les premières formes des diviseurs de , et les dernières formes des non-diviseurs. Le nombre de chacune d’elles sera égal au nombre de résidus , , etc. ou de non-résidus , , etc., et partant, (no 96) . Or si est un nombre composé impair et que l’on ait , tous les facteurs premiers de seront contenus dans une des premières formes, et parconséquent, lui-même ; donc tout nombre com-