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RECHERCHES
qu’une forme en renfermât une autre , tant proprement qu’improprement. On voit que cela aura lieu, si l’on peut interposer
une autre forme , telle que renferme , et que renferme ,
et que la forme soit de nature à être proprement équivalente à
elle-même. Car si l’on suppose que renferme proprement ou
improprement, comme se renferme lui-même improprement,
renfermera improprement ou proprement, selon la supposition primitive, et partant le renfermera dans les deux cas, proprement ou improprement (no 159). On trouvera de même que
de quelque manière que renferme , doit toujours renfermer des deux manières. Or on reconnaît qu’il existe des formes
improprement équivalentes à elles-mêmes par un cas très-évident,
celui de la forme , qui se change en en faisant et . Plus généralement, toute
forme jouit de cette propriété lorsque est divisible
par ; en effet la forme est contiguë à par
la première partie (no 160), et partant lui est proprement équivalente, mais (no 159) équivaut improprement à ;
donc équivaut improprement à elle-même. Nous nommerons formes ambiguës les formes dans lesquelles
est divisible par . Nous avons donc le théorème suivant :
La forme renfermera la forme proprement et improprement, si on peut trouver une forme ambiguë que renferme et qui renferme
La réciproque est également vraie, et c’est l’objet du numéro suivant.
164. Théorème. Si la forme renferme tant proprement qu’improprement la forme on pourra trouver une forme ambiguë que renfermera et qui renfermera
Supposons que devienne par la substitution ,
, et par la substitution dissemblable ,
. Soit , , on aura
; donc , et comme
et sont de signe contraire ou ; or il est clair