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Page:Gauss - Recherches arithmétiques, traduction Poullet-Delisle, 1807.djvu/231

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ARITHMÉTIQUES.


Car 1o. il est évident que ces quatre nombres sont entiers ; 2o. on s’assure aisément que la substitution est propre ; 3o. il est clair (no 159) que la forme en laquelle se change , par la transformation précédente, est la même que celle en laquelle se change par la transformation


Or le premier de ces quatre nombres se réduit sur-le-champ à , le second à  ; d’ailleurs on a  : donc et , ce qui donne pour les deux expressions précédentes , se réduisent évidemment à , , puisqu’on a . Ainsi cette transformation est , , ,  ; donc se change en et partant et sont proprement équivalentes, puisqu’elles ont d’ailleurs le même déterminant.

On pourra toujours juger par là si une forme de déterminant renferme proprement une forme de déterminant  ; mais quand on cherche si renferme improprement, on doit chercher si la forme opposée à est renfermée dans .

214. Problème. Étant données deux formes et dont les déterminans sont respectivement et et dont la première renferme la seconde proprement ; trouver toutes les transformations propres de en

En représentant par le même ensemble de formes qu’au numéro précédent, on en extraira toutes les formes auxquelles est proprement équivalente. Désignons-les par , , , etc. ; chacune de ces formes fournira des transformations propres de en , en donnera de différentes, et il n’y aura aucune transformation de la forme en qui ne soit donnée par une des formes , , , etc. Au reste, comme la méthode est la même pour toutes ces formes, nous ne nous occuperons que d’une seule.

Supposons et de manière que se change en par la substitution propre, , , , . Désignons par ,

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