De la même manière, on peut déduire de la période de la fraction , celles des fractions dont les numérateurs répondent aux indices
De la période de la fraction dont le numérateur est (l’indice
en est ), on déduira celles des fractions dont les numérateurs
ont pour indices
Et généralement, de la période de la fraction dont le numérateur est , on déduira celles des fractions dont les numérateurs
ont pour indices
On conclura facilement de là que si l’on connaît seulement les
périodes des fractions qui ont pour numérateurs
on peut tirer toutes les autres par la seule transposition, à l’aide
de la règle suivante : Soit l’indice du numérateur de la fraction proposée , dans le système où est pris pour base, nous
supposons ; on fera, en divisant par , ,
de manière que , soient des entiers positifs, ou même ,
et qu’on ait . Cela posé, la période de la fraction naîtra
de celle de la fraction dont le numérateur est (et partant ,
quand ) en plaçant les premiers chiffres après les autres (et
conservant parconséquent cette période elle-même, quand ).
Ce qui précède suffit pour faire voir pourquoi, en formant la
Table I, nous avons suivi la règle exposée no 72.
316. Nous avons construit, d’après ces principes, pour tous les dénominateurs de la forme au-dessous de , une Table des périodes nécessaires, que nous donnerons en entier, et même continuée plus loin à la première occasion qui se présentera. Nous