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Page:Gautier - Khou-n-Atonou (Fragments d'un papyrus), 1898.djvu/223

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CRIME JAPONAIS

Mais non, elle ne goûtera même pas au remède ; des modernes sont allés chercher la police, on saisit le corps du délit. La pauvre Sougni s’est sacrifiée pour rien ; sa belle-mère n’aura pas le remède infaillible, ses yeux resteront malades et son mari va être condamné à neuf ans de réclusion majeure, laissant ainsi sa fille et sa vieille mère privées du riz quotidien.