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Page:Gautier - L’Orient, tome 1, Charpentier-Fasquelle, 1893.djvu/112

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L’ORIENT.

tèrent dans leurs talikas, protégées par les eunuques, qui écartaient la foule ; les hommes mirent au galop leurs beaux chevaux barbes, et moi je retournai paisiblement à mon caïque, riant encore à part moi de ces figures grotesques rappelant pour la fantaisie extravagante les songes drolatiques d’Alcofribas Nasier.