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Page:Gautier - La Question des serpentins, paru dans La Science Française, 22 mai 1896.djvu/16

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Il s’agit tout simplement d’en faire, deux ou trois jours par an, dans les artères favorites de la rigolade parisienne, une habitude réglementaire : ce n’est pas, apparemment, la mer à boire.

Ne me dites pas davantage que la fonte des serpentins va se traduire par une pluie de taches, d’autant plus redoutables que, le papier de ces fanfreluches étant généralement du papier teinté, les éclaboussures seront fatalement multicolores et auront tôt fait de métamorphoser robes, redingotes et chapeaux en autant de pans d’arc en ciel !