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Page:Gautier - Le Collier des jours.djvu/92

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le collier des jours

J’avais cependant bien peur qu’un ricochet m’envoyât au fond de la citerne, comme les chats…

C’était Nini qui pleurait, quelquefois, en me voyant toute contusionnée et écorchée.

— Que tu es bête ! lui disais-je, il ne faut pas pleurer, puisque c’est de ma faute.