Page:Gautier - Le Dragon Impérial, Armand Colin et Cie, 1893.djvu/192

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Ko-Li-Tsin la tenait d’une main, de l’autre il se cramponnait au dernier morceau de sa robe allongée en queue. La corde, qui descendait vers la ville, paraissait bien tendue. Enfin la nuit s’établit tout à fait, et les vents étaient devenus formidables.

— En route ! dit Ko-Li-Tsin.

Et il lâcha le monstre, qui s’éleva avec une rapidité vertigineuse, entraînant derrière lui sa queue, et, au bout de sa queue, Ko-Li-Tsin.