Page:Genoude - Les Pères de l'Eglise, vol. 3.djvu/386

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inutiles et devenues un empêchement à la guérison de la plaie. Ma critique dissipe leur vanité et abat leur enflure ; aussi, ne nous laissons-nous rebuter par aucun obstacle pour les ramener à la vérité. C’est pour cela que nous nous proposons, dans le livre suivant, d’appuyer nos raisonnements sur l’autorité des paroles du Christ ; puissions-nous, par ce moyen, les arracher à leurs erreurs et les faire renoncer à tous les blasphèmes qu’ils vomissent contre l’auteur de toutes choses, le seul Dieu, le père de notre Seigneur Jésus-Christ ! Ainsi soit-il.