Cette page a été validée par deux contributeurs.
Guérissac, à mi-voix, à Chamerot, aussitôt la fin de l’accompagnement.
Dis donc ! Ça me paraît plutôt poivré ce qu’elle chante là !
Chamerot.
Plutôt !
Madame Hautignol, à mi-voix à Madame Ponant.
Est-ce que vous comprenez quelque chose, vous ?
Madame Ponant.
Moi ? pas un mot !
Madame Hautignol.
Ah ! bien, je ne suis pas fâchée de n’être pas la seule !
La Môme, qui est allée pendant ce qui précède jusqu’à la duchesse lui faire quelques petites recommandations, revenant à sa place et annonçant.
Troisième strophe ! (Troisiè… meustrophe !)
Tous, avec satisfaction.
Ah !
La Môme.
Couplet sentimental !
Chantant.
Eh ! bien, soit, je t’en fais l’offrande,
— Puisqu’y faut, y faut ! —
En priant que Dieu me la rende
Quelque jour là-haut !
Et j’ f’rai trois crans, à ma ceinture
En attendant que j’ trouv’ un’ peau
Pour m’assurer ma nourriture