Aller au contenu

Page:Gingras - Les Guérêts en fleurs, poèmes du terroir, 1925.djvu/108

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
110
LES GUÉRÊTS EN FLEURS


Là-bas, un merle, au bord de quelque étroit sentier,
À travers les broussailles
Chante les funérailles
De son nid pantelant aux bras d’un églantier.

Et l’Automne s’enfuit brusquant le paysage…
Tout n’est plus que torpeur,
Car pris soudain de peur,
On dirait que le Sol se voile le visage… !