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Page:Girard - Marie Calumet, 1904.djvu/177

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MARIE CALUMET.

barrassait dans ses mots, comme un rustre dans les peaux de tigre couchées sur les Bruxelles d’un luxueux hôtel.

— Eh ben ! eh ben ! t’es venu, répartit le curé Flavel, ça c’est clair comme le jour, mais pourquoi faire ?

— Eh ben ! m’sieu le curé, j’vas vous dire pour piquer au plus court, j’suis venu pour an’affaire qui me r’garde.

— Alors si ça te regarde, ça me regarde pas moi.

Et le curé Flavel fit mine de vouloir continuer son chemin vers le presbytère.

— Ben bouffre ! m’sieu le curé, j’suis venu… j’suis venu… c’est que j’aurais besoin de vos services.

— Et pourquoi ?

— Sous vot’ respect, m’sieu le curé,