Page:Godwin - Les Aventures de Caleb Williams, I (trad. Garnier).djvu/149

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laissât échapper encore les autres moyens de tourmenter son pauvre tenancier. Parmi les divers expédiens dont il s’avisa, il y en eut un qui, à la vérité, tendait plutôt à vexer ce malheureux, qu’à lui causer une perte irréparable, mais qui ne fut pas négligé pour cela. Ce fut la situation particulière du logement de Hawkins, de ses granges et bâtimens de ferme qui suggéra cette idée. Ces bâtimens étaient placés à l’extrémité d’une pièce de terre qui les joignait avec le reste de la ferme, et ils étaient environnés de tous côtés par des pièces de terre occupées par un des fermiers de M. Tyrrel, et le plus dévoué à ses volontés. La route qui conduisait à la ville de marché était l’extrémité de la plus grande de ces pièces, et directement en face de la maison de Hawkins. Il n’était jusques-là résulté aucun inconvénient de cette position, parce que, de temps immémorial, il y avait un large sentier qui