Page:Goethe-Nerval - Faust 1828.djvu/227

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MARGUERITE.

Ma mère pourrait…. Adieu !

FAUST.

Faut-il donc que je parte ? Adieu !

MARTHE.

Bonsoir.

MARGUERITE.

Au prochain revoir !

{{droite|(Faust et Méphistophélès sortent.)

MARGUERITE.

Mon bon Dieu ! un homme comme celui-ci pense tout et sait tout. J’ai honte devant lui, et je dis oui à toutes ses paroles. Je ne suis qu’une pauvre enfant ignorante, et je ne comprends pas ce qu’il peut trouver en moi.

(Elle sort.)