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Page:Goethe - Œuvres, trad. Porchat, tome II.djvu/394

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amis !… Je lis dans vos regards que vous l’êtes. Laissez-moi revenir à moi-même, et puis faites-moi de toute l’affaire un récit impartial et fidèle, qui puisse régler ma conduite. Il faut que le sentiment d’une bonne cause affermisse ma résolution, et, croyez-le, si nous avons le bon droit, nous obtiendrons justice.



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ACTE DEUXIÈME.