bonheur vous est-il cher ? Ne faites au larron Jamais aucune grâce, Qu’avec la bague au doigt.
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Valentin. Il s’avance.
Qui viens-tu enjôler ici ? Par l’enfer !… Maudit preneur de rats !… Au diable d’abord l’instrument ! Au diable ensuite le chanteur !
MÉPHISTOPHÉLÈS.
La mandoline est en pièces ! Son affaire est faite.
VALENTIN.
A présent, il s’agit de se fendre le crâne !
MÉPHISTOPHÉLÈS.
Monsieur le docteur, ne reculez pas ! Courage ! Serrez-vous contre moi comme je vous mène ! Au vent votre flamberge ! Poussez ferme ! Je pare.
VALENTIN.
Pare celui-là !
MÉPHISTOPHÉLÈS.
Pourquoi pas ?
VALENTIN.
Et celui-ci !
MÉPHISTOPHÉLÈS.
Certainement.
VALENTIN.
Je crois que le diable s’en mêle ! Qu’est-ce donc ? déjà ma main engourdie !
MÉPHISTOPHÉLÈS, à Faust.
Pousse !
Valentin, tombant. O malheur !
MÉPHISTOPHÉLÈS.
Voilà le butor apprivoisé ! Mais partons. Il nous faut sur-lechamp disparaître, car déjà l’on crie au meurtre. Je sais parfaitement m’arranger avec la police, mais fort mal avec la justice criminelle.
Marthe, à la fenêtre.
Au secours ! au secours !
Marguerite, à la fenî’tre. Ici