Page:Goethe - Le Renard, 1861, trad. Grenier.djvu/129

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

sous le soleil. Contre toute probabilité, il advient tel et tel événement et celui qui croit posséder une chose la perd tout d'un coup. Ainsi laissez-moi partir! J'ai fort à faire là-bas; restez en paix, je vous en supplie, vous n'avez pas besoin de vous tourmenter. Attendez-moi, vous me reverrez, ma chère amie, dans cinq ou six jours, si cela m'est possible.»

Et il partit, accompagné de Grimbert le blaireau.