Page:Gojon - Le Jardin des dieux.djvu/189

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Ô ma terre éternelle où, du fond du passé,
Tant de races, jadis, siècle à siècle, ont poussé
Leur houle sur ces bords désormais solitaires,

Quelle fiévreuse ardeur j’éprouve en te foulant,
Toi qui mêles dans l’or de tes sables brûlants
La citadelle turque aux victoires aptères.