teaux de punition, des sortes de tonneaux, sur le bois desquels était peint, d’une manière galante, par des Watteau de village, le crime qui y faisait enfermer le séducteur ; des cages pour immerger, pendant un temps fixé réglementairement, les boulangers, qui vendaient à faux poids ; des bonnets d’âne aux oreilles de fer, etc. — enfin, tout un magasin d’accessoires diaboliques, pour terrifier le prévenu, lorsque sa chair avait résisté à la torture.
Samedi 7 septembre. — La domesticité est si voleuse ici, que tout est enfermé, scellé, et que la maîtresse de maison délivre, de sa propre main, la pincée de sel.
Lundi 9 septembre. — Départ ce soir de Munich pour la France.
29 septembre. — Un cousin, chez lequel je suis en villégiature, m’emmène à Ferrières.
Ce n’est pas un château, c’est un magasin de curiosités, dont les maîtres semblent les conservateurs. Au milieu de cette bibelotterie écrasante, une très charmante petite femme, aux paupières lourdes,