Page:Goncourt - Préfaces et Manifestes littéraires, 1888.djvu/117

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Nous, ne pouvons le croire. Nous ne pouvons croire que ce qui s’appelle la jeunesse française, en 1865, ait les ciseaux de la censure dans son drapeau.

Mais, quoi qu’il en soit, puisqu’il semble y avoir quelque péril en ce moment à ne pas désavouer notre reconnaissance pour une princesse qui n’a d’autres courtisans que des amis, nous la remercions ici hautement et publiquement avec une gratitude, qui serait presque tentée de lui souhaiter une de ces fortunes où l’on peut éprouver, autour de soi, le désintéressement des dévouements.

Arrivons à la dernière question, à la question personnelle, et cherchon